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valérie lemercier - Page 2

  • Godefroy de Montmirail - Les visiteurs

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    Godefroy de Montmirail : Que trépasse si je faiblis !

  • L’amour dure trois ans

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    Son premier mariage s’est soldé par un véritable fiasco et notre pote Marc Marronnier (Gaspard Proust) n’a eu d’autres choix que d’augmenter à son tour les statistiques du divorce. Il ne fallait donc surtout plus parler d’amour à cet écrivain et pourtant c’est ce même thème qui va inspirer son futur succès en librairie L’amour dure trois ans. Son livre dresse un constat plutôt pessimiste des relations sentimentales et si vous deviez demander l’avis d’Alice (Louise Bourgoin), elle irait même jusqu’à vous dire que l’auteur de ce bouquin fait preuve d’une misogynie maladive. On comprend mieux pourquoi  Marc qui s’est épris d’elle fait tout pour lui cacher sa véritable identité mais la vérité finira bien par éclater au grand jour !

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    On le voyait déjà partout et voilà qu’il se décide de se lancer dans la carrière de réalisateur, Frédéric Beigbeider signe là une comédie sentimentale hélas sans grande passion. Difficile d’imposer sa patte dans un genre déjà bien encombré, l’écrivain tente bien quelques fantaisies mais rien qui ne permette à l’adaptation de son roman hautement autobiographique de marquer nos esprits. Il s’est trouvé un bon alter-ego en la personne de Gaspard Proust même si celui-ci se laisse parfois effacer par ses camarades de jeu d’un casting assez hétérogène. L’amour dure trois ans ne réussit donc pas à nous séduire outre-mesure, on dira juste que pour une première réalisation ça tient la route pour notre pote Beigbeider.



    Il faut le voir pour : S’interroger sur votre couple avant de fêter votre 3ème anniversaire !

  • Bienvenue à bord

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    Bienvenue à bord ! C’est par ces mots que notre pote Rémy Pasquier (Franck Dubosc) a appris qu’il avait réussi à décrocher ce job d’animateur sur un bateau de croisière. Pourtant, il est loin d’être le candidat idéal mais pour Isabelle (Valérie Lemercier), c’est l’homme parfait pour accomplir sa revanche. Elle a en effet appris par un mail que son supérieur et amant depuis 5 ans Jérôme (Lionnel Astier) allait effectuer la prochaine croisière avec sa femme et il a également prié Isabelle de se trouver un autre job. Elle a donc eu l’idée d’engager Rémy avec l’idée que celui-ci allait semer une véritable zizanie au cours de cette folle croisière.

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    Après le film de Pascale Pouzadoux, les spectateurs sont de nouveaux invités à prendre part à une nouvelle croisière en compagnie cette fois de Franck Dubosc, Valérie Lemercier ou encore Gérard Darmon. Tout comme son confrère, Eric Lavaine pond une comédie très bateau qui malheureusement nous anesthésie par son rythme trop tranquille et un scénario minimaliste au possible. Malgré toute la sympathie que j’éprouve pour Dubosc, son personnage qui se veut solaire finit par agacer plutôt qu’à nous faire rire et à partir de là on peut considérer que Bienvenue à bord est plutôt loupée. Ceux d’entre vous qui monteront à bord seront donc prévenus !

     

    Il faut le voir pour : Réserver une croisière pour aller jouer aux machines à sous.

  • Le petit Nicolas

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    Il y a des signes qui ne trompent pas, son père a sorti la poubelle avec le sourire et puis il est étrangement complice avec sa mère ! C’est sur Nicolas (Maxime Godart) va bientôt avoir un petit frère et s’il ne veut pas être abandonné dans la foret comme le Petit Poucet, il faut absolument qu’il fasse quelque chose. C’est donc avec l’aide de ses potes d’enfance qu’il cherche un moyen pour que ses parents changent d’avis mais Nicolas a beau faire tous les efforts du monde rien n’y fait. En fait, ce qu’il ne sait pas c’est que tout cela n’est qu’un terrible malentendu avec ses parents qui veulent simplement organiser un diner.

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    Œuvre de René Goscinny et immortalisé par le dessinateur Sempé, Le petit Nicolas est en plein revival et a lui aussi droit à son adaptation sur le grand écran. Une comédie assez réussit puisqu’il a su conserver l’esprit de la bande-dessinée mais qui se contente du strict minimum. La faute à une histoire très basique relevée par un casting riche sans compter la bouille du petit Maxime Godard qui sied à merveille au héros de papier. On a même droit un clin d’œil fort sympathique de Gérard Jugnot.  Un film qui ne va pas marquer les mémoires mais largement satisfaisant pour une sortie en famille au cinéma.


    Il faut le voir pour : Ne plus laisser les hommes sortir la poubelle, ça pourrait donner de fausses idées à vos enfants !

  • Agathe Cléry

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    Pas facile de travailler avec notre pote Agathe Cléry (Valérie Lemercier). Cette jeune femme ambitieuse vient d’être promue Directrice Marketing de Guinard, un grand groupe pharmaceutique mais ne recueille pas vraiment l’assentiment de ses collègues. Passe encore que son caractère de business-woman énerve certains mais ce sont surtout ses constantes réflexions et son attitude vis-à-vis de certaines personnes qui dérangent. Oui, Agathe Cléry est raciste, ce n’est un secret de polichinelle mais le destin lui réserve un triste sort. Suite à une maladie extrêmement rare, la pigmentation de sa peau fonce à vue d’œil jusqu’à ce qu’elle devienne noire !

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    Parce que le racisme est encore un sujet brulant, une comédie semblait l’idéal pour détendre l’atmosphère. Emmenée par une Valérie Lemercier en demi-teinte ; on ne peut pas dire qu’Agathe Cléry soit la grande comédie que l’on attendait. La faute d’abord à une accumulation de clichés que l’on ressasse sans cesse et qui finissent par nous lasser, encore si cela était drole… Etrangement, les premières minutes enchainent les phases de comédie musicale pour disparaitre par la suite. Beaucoup de déception donc de la dernière comédie d’Etienne Chatillez.

     

    Il faut le voir pour : Aller faire un tour dans l’Eure

  • L'invité

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    Cela fait 3 ans qu’il attendait ça et il n’en revient pas, Gérard (Daniel Auteuil) a enfin retrouvé un travail ! Spécialisé dans le film alimentaire (attention, le film d’emballage !), voilà qu’on lui propose un poste à responsabilité dans l’aluminium situé en Indonésie mais il reste une dernière étape à franchir. Il doit recevoir à diner Pontignac (Hippolyte Giirardot), l’intégrateur de compétences et la moindre erreur lui serait fatale. Par chance, il fait la connaissance d’Alexandre (Thierry Lhermitte), spécialisé sur le travail de l’image et qui va l’aider à donner la meilleure impression possible. Adieu les tableaux de poissons rouges, les disques de Clo-Clo et les circuits de train ; place aux changements.

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    Adaptée d’une pièce de théâtre, L’invité a tout de la comédie française classique et c’est sans surprises que l’on accueille ce film aussi divertissant qu’anecdotique. Malgré les bonnes volontés des acteurs notamment de Daniel Auteuil & Thierry Lhermitte, le film manque de rythme et provoque plus souvent sourires que tranches de rire. Quant à Valérie Lemercier, sa présence est étouffée par ses 2 partenaires rendant son personnage transparant au sein de l’histoire. Ce ne sera pas le film de ce mois et encore moins de l’année mais ça se laisse voir si vous apprécier le genre et puis si en plus on vous invite pour le voir, profitez en pour économiser des sous !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les nouvelles méthodes de recrutement.

     

  • Palais Royal

     

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    C’est la catastrophe dans le royaume, le monarque est mort et tout le peuple pleure sa disparition. Selon les traditions, le fils ainé Alban (Michel Vuillermoz) devrait lui succéder sur le trône malheureusement il vient de nouveau de se faire plaquer ! Une situation gênante pour la famille qui décide ainsi de propulser Arnaud (Lambert Wilson) à la tète du royaume, lui qui a une charmante épouse : Armelle (Valérie Lemercier). C’est la belle vie qui s’offre à ce couple royal jusqu’au jour où notre pote Armelle s’aperçoit que son mari la trompe avec sa meilleure amie.

     

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    Largement inspiré des frasques de la famille royale d’Angleterre, Palais Royal était annoncé comme l’une des très bonnes comédies françaises de l’année 2005. Un titre qui a été usurpé puisque l’on est bien loin du bijou d’humour promis même si ce film reste un bon divertissement grâce à l’énergique Valérie Lemercier. N’oublions pas un très beau casting avec Catherine Deneuve, Lambert Wilson, Mathilde Seigner ou encore Gilbert Melki.

  • Fauteuils d'orchestre

    Dans la vie, il faut savoir prendre des risques et la belle Jessica (Cécile de France) est bien décidée à en prendre ! C’est ainsi qu’elle s’est lancée dans l’aventure en rejoignant Paris, la ville des lumières car elle aussi veut briller de mille feux ! Mais c’est en tant que serveuse qu’elle va débuter au sein du Café des Théâtres. Elle ne le sait pas encore mais c’est le lieu de rendez-vous de nombreux artistes et elle va y faire des rencontres inoubliables.

    Outre la présence de la belle Cécile de France, ce film de Danièle Thompson se distingue par la multiplicité des personnages et autant d’interprètes talentueux. Avec une Valérie Lemercier royale, un Claude Brasseur toujours aussi imposant ou encore une Dani émouvante ; ce film réussit le pari de nous divertir. On regrettera cependant une réalisation classique bien que rythmée par la découverte des différents personnages.